On an unseasonably warm day in November, the dancers Rebecca Margolick and Stephanie Crousilat met me on the lower level of Grand Central Station to board a northbound train to New Canaan, Connecticut, the birthplace of the mid-century modern movement in American architectural movement and site of Philip Johnson's Glass House, where we would bring Peter Silberman to record a series of dance and music performance films with the songs of his new album, Impermanence, at the heart.
C’est une haute montagne surplombant un gigantesque lac. Une montagne verte, bucolique, le genre d’endroit où les seuls trésors que l’on pense pouvoir trouver reposent au pied d’un arc en ciel. Mais le trésor de cette montagne là est à l’abri dans un grand chalet, un chalet qui abrite toute la musique moderne des cinquante dernières années.