Été 2010 : j'ai vécu le soir, traversant Paris sur mon vélo à travers les boulevards, sautant d'apéro en dîner, pour m'échouer dans les canapés mous de salons inconnus, humant l'air chaud des lourdes soirées d'été qui gonflait les rideaux, poussés par une légère brise.
Parenthèse enthousiaste dans la vie de Strasbourg-Saint-Denis, le Mahala Rai Banda a fait ce qu'il sait : faire danser les poissonniers.