Nîmes, quelques jours seulement avant que commence la féria, 38°C à l’ombre. Des Waterllillies en pleine effervescence, et pour cause : le groupe s’apprête à déménager à Paris, là où “ça se passe”, là où on vous repère, là où on vous signe, peut-être, qui sait. Les cinq vingtenaires nous montrent leur ville où trônent les vestiges de l’empire romain ; arènes, temple, tours…
En redescendant du magnifique jardin de la Fontaine, nous nous arrêtons dans une ruelle étroite, typique, où l’on a du mal à tous tenir, où l’on espère que les passants ne passeront pas et que les riverains, malgré l’après-midi ne nous en voudront pas de chanter une sérénade un peu particulière sous leur fenêtre.