Il y a quelques années, il s'amusait à descendre dans la foule, un bouquet de mégaphones sur les épaules. Ce soir-là, il a commencé dans le noir, avec des gants de lumière qui éclairaient les seuls instruments. "Lighthouse", qui finira avec trompettes, brouhahas et soleils aveuglants. Tel est Patrick Watson, un garçon qui ne peut pas ne pas tout orchestrer, ne restera jamais bras ballants devant un micro, imaginera une mise en scène unique pour chacun de ses morceaux, des morceaux qui suivent les règles et la logique des rêves, parsemés de souvenirs d'enfance et d'aventures secrètes.
Arrive le moment du rappel. Et là c’est au tour de "Great Escape", puis 'Drifters', finissant en apothéose un concert vibrant et chaleureux.