Zou, on saute. Colin part pour Tel Aviv, revient quelques jours plus tard avec des images baignées d'un soleil sans saison. Et là, joie, parce que oui, ça valait le coup de sauter. Le groupe a pris plaisir à l'exercice, cela se sent. Il a surtout réarrangé ses chansons pour qu'elles sonnent pleinement, que l'acoustique ne soit pas un appauvrissement, mais une nouvelle coquille. Le Concert à emporter de Lola Marsh a servi à découvrir le coeur d'une chanson que nous ne serions pas forcément aller cherché. On aime quand ils servent à ça.