Nous les avons suivis au fil des années, les avons maintes fois racontés, et je pense que jamais je ne pourrai dépasser le premier texte que ces deux-là m'ont inspiré, il y a huit ans déjà.
Je ne me lasserai jamais de cette danse, de cette interaction, de Gaspar qui ne regarde nulle part, de Pedro qui regarde Gaspar. C'est cette fois-ci en Islande, où les deux étaient partis enregistrer leur album qui au final s'est fait ailleurs. Colin était avec eux, il en a tiré un beau film sur les fantômes. Ce Concert à emporter en est extrait.