A la fin de Fire Fire Fire, Tim tente de nous rappeler le ridicule de nos existences-- "someone put milk in my coffee before and that was also exciting." Le monde dans lequel nous vivons nous impose une pensée unique: il est complètement dépassé de réagir à ce qui sort de l'ordinaire. On espère ne jamais s'éparpiller, vivre chaque journée sans qu'aucun élément ne vienne perturber notre routine. Maintenir et même entretenir cette mort lente.
Nous avons ensuite sauté une barrière pour atterrir dans une cour de récré, et emprunté le chariot d'une dame qui passait par là. Les gars se sont lancés dans un air, les jouets faisant office d'instruments, mais.. où sont passés les enfants ?
On s'est posés devant une superbe église et les Dappled Cities ont fini leur session en jouant Battle Won, collant parfaitement au climat politique actuel-- "Battle won! Battle won! I found my dignity, the one that I lost the day that I went to war. I don't need to fight to become the mightiest man."